Cet ouvrage montre que la loi du 15 avril 1909, créant les classes et les écoles de perfectionnement pour enfants "arriérés" : 1) n'a été obtenue, après des réticences notables des politiques, que grâce à la mise en oeuvre de toute une stratégie par ses défenseurs ; 2) qu'au Parlement les clivages idéologico-politiques n'ont pas joué dans le sens que l'on attendrait aujourd'hui.