Comment les fictions du Moyen Âge et de la Renaissance – poésie, théâtre, narration –, posaient-elles la question de la vue et de l’ouïe ? Comment ces discours sur ces sens étaient-ils porteurs d’un discours sur la création poétique ? Comment à la littera qui thématise ce discours se superposait une sententia qui pouvait rejoindre des interrogations théologiques, esthétiques, rhétoriques ou politiques ?