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Phénoménologie et marxisme
Perspectives historiques et legs théoriques
La Croisée des chemins
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Les rapports entre marxisme et phénoménologie ont constitué un axe fondamental du débat culturel européen, dans les années 1960 et 1970. Dans la France de l'après-guerre, Sartre et Merleau-Ponty faisaient déjà référence, sur le plan de la fondation théorique, à la tradition phénoménologique de Husserl et de Heidegger, et sur le plan de l’engagement civil, au marxisme. Tran Duc Thao, élève de Merleau-Ponty, mettra en place dès 1951 une première synthèse de ces deux paradigmes dans son Phénoménologie et matérialisme dialectique. Onze années après, Jean-Toussaint Desanti reviendra sur l’exigence d’une convergence entre phénoménologie et marxisme. En Italie, puis en Allemagne, d’autres tentatives vont émerger. Ce volume a pour ambition de proposer une synthèse sur le sujet. Il vise également à promouvoir une première réflexion historique sur le courant philosophique qui, pendant au moins deux décennies, a occupé la scène intellectuelle, et à évaluer son héritage dans le débat contemporain.
Pierre-François Moreau
: 027037819
Pierre-François Moreau, Michaël Pouteyo
La Croisée des chemins
Durant plus de soixante ans, Deligny a construit un travail autour de l'enfance en marge. Un travail qui lie de manière indissociable théorie et pratique, occasions et tentatives, écriture et cinéma. Par une pensée à la fois de l'immuable et de la circonstance ; par un regard qui s’avère – en un sens inusuel – profondément et autrement politique.
Pierre-François Moreau
Feuillets, économie politique moderne
Au milieu de l'âge classique, Spinoza bouleverse les rapports entre Etat, philosophie et religion. Dans une conjoncture où la révolution philologique remet en cause la lecture des textes sacrés, la philosophie de la puissance pose les questions de la…
Ann Thomson, Pierre-François Moreau
La Croisée des chemins
La modernité, dès ses débuts, attribue un rôle-clef aux passions : qu’elles soient hostiles à la Raison ou au contraire ses alliées, dangereuses ou fascinantes, elles marquent le rôle du corps, du désir, du langage et de l’imagination dans la nature...
Collaborations intellectuelles ou scientifiques :
En France comme à l’étranger, Alexandre Matheron a profondément marqué la recherche sur le spinozisme et sur les philosophies de l’âge classique. Reprenant quelques thèmes qu’il a travaillés — politique et religion, théorie de la substance, la...
Pierre-François Moreau
Ce dossier analyse comment Spinoza remanie ce qu'il hérite de différentes traditions. Pour lui, ces héritages sont en fait des matériaux à retravailler : comment le système spinoziste traite-t-il les questions classiques du suicide, de l’expérience historique, de la toute-puissance divine et de la finitude humaine ?
Pierre-François Moreau, Raffaele Carbone, Chantal Jaquet
La Croisée des chemins
Les relations entre les philosophies de Spinoza et Malebranche ont rarement été abordées de front dans un face à face spéculatif, qui explore aussi bien l'ontologie et la théorie de la connaissance que l'éthique et la politique. Ce livre ouvre de nouvelles recherches à ce sujet.
Pierre-François Moreau
Ce volume est sans doute un des premiers ouvrages qui tienne compte de la masse de mises au point, éclaircissements, approfondissements réunis dans les Dits et écrits de Michel Foucault publiés en 1994.
Charles T. Wolfe, Pierre-François Moreau
La Croisée des chemins
Ces études reviennent sur le problème du matérialisme dans l'histoire de la philosophie à travers une série de thèmes, parfois classiques, parfois moins (les rapports corps-esprit, le statut du cerveau, la question de l'athéisme, mais aussi le rêve, le rire, l'embodiment et l’émergence d’un « nouveau matérialisme » contemporain).
Jacques-Louis Lantoine, Pierre-François Moreau
La Croisée des chemins
À la différence des approches tant traditionnelles que contemporaines de la notion de disposition, la philosophie de Spinoza en propose une définition déterministe et actualiste. Cet ouvrage met en évidence l'originalité de cette approche au regard de l'histoire de la philosophie, et montre que le concept est au cœur de l’anthropologie spinoziste.
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