Ce recueil tente de redécouvrir la richesse des spéculations de la philosophie française du XIXe siècle sur la nature, et ce, dans la diversité de ses approches : épistémologique, sociologique ou spiritualiste. Autour de la complicité entre la nature et l’esprit se révèle alors, entre la philosophie du XIXe et celle du XXe siècle, une filiation souvent occultée, mais qui pourrait constituer le point aveugle de la philosophie moderne.