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ENS Éditions
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Sociétés, Espaces, Temps
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Naissances de la géographie moderne (1760-1860)
Lieux, pratiques et formation des savoirs de l'espace
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GCOI
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Jean-Marc Besse
Besse, Jean-Marc
Jean-Marc
Besse
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Isabelle Surun
Surun, Isabelle
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Hélène Blais
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Hélène
Blais
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géographie
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ENS Internet -site
Histoire, géographie, sociologie
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne?</p>
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne?</p>
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne?</p>
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne?</p>
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne? <br />
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<P>Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie. <br />
Mais les savoirs auxquels renvoie la géographie durant toute cette période se caractérisent par une grande diversité, et parfois par des contradictions, du point de vue des formes qu’ils adoptent, des pratiques dont ils sont l’expression, des intentions qui les animent, voire des parcours individuels qui les portent. <br />
En réalité ce sont des cultures géographiques différentes qui se fréquentent, et s’affrontent parfois, au sein de ce qui est appelé « la géographie ». La diversité de ces cultures savantes apparaît dans les objets étudiés, mais aussi dans les langages, les instruments, les pratiques cognitives et sociales, voire dans les projets politiques où la géographie est impliquée.<br />
Comment, dès lors, la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser? Dans quels dispositifs épistémiques, mais aussi matériels et institutionnels les pratiques géographiques se sont-elles rencontrées, reconnues, ignorées, repoussées et mélangées? Est-il possible d’identifier divers modes de rationalité savante et divers types de savoirs de l’espace, qui auraient coexisté au sein de la géographie moderne? <br />
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<p>Introduction générale<br />
Jean-Marc Besse</p>
<p>Première partie : Géographes en mouvement<br />
Chapitre I : <br />
Ottmar Ette • L'Amérique en Asie. L’Asie centrale et l’expédition scientifique russo-sibérienne d’Alexandre von Humboldt dans un contexte transaréal</p>
<p>Chapitre II : <br />
Joao Carlos Garcia • Santarém « le navigateur » à Paris. Cartes, diplomatie et sociétés savantes</p>
<p>Deuxième partie : Les épreuves du terrain<br />
Chapitre III :<br />
Hélène Blais • La carte de l’Algérie au miroir de la carte de France : Circulations des savoirs et altérité du terrain (1830-1860)</p>
<p>Chapitre IV :<br />
Isabelle Surun • Espace projeté, espace parcouru : le terrain des explorations en Afrique (1790-1860)</p>
<p>Chapitre V :<br />
Marie Thébaud-Sorger • La terre vue du ciel ? La géographie et les ballons : Les apports contradictoires de l’aérostation aux savoirs géographiques de 1783 à la première moitié du XIXe siècle</p>
<p>Troisième partie : Les voisinages de la géographie<br />
Chapitre VI :<br />
Isabelle Laboulais • Géographie, minéralogie, géologie : l’acte cartographique dans les dispositifs d’inventaire des ressources minérales en France des années 1740 aux années 1830</p>
<p>Chapitre VII : <br />
Jean-Luc Chappey • Géographie et Science de l’homme : Regards sur les enjeux scientifiques et politiques de voisinage et de distinction des savoirs</p>
<p>Quatrième partie : La géographie dans l’espace public<br />
Chapitre VIII :<br />
Hervé Ferrière • Les géographies de Bory de Saint- Vincent : construction, présentation, réception<br />
Chapitre IX :<br />
Hélène Richard • La création du Département des cartes géographiques de la Bibliothèque royale</p>
<p>Chapitre X :<br />
Jean-Marc Besse • Dans les rues de la géographie. Comment faire de Paris un espace révolutionnaire (1789-1802) ?<br />
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<p> Compte rendu de l'ouvrage par Yann Calbérac sur le site de <a href="http://lectures.revues.org/1330"><u><em><strong>Lectures</strong></em></u></a> [29 mars 2011]</p>
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Les années 1760-1860 sont marquées en France par l'apparition des premières formes d’une institutionnalisation de la géographie. De nombreux débats animent alors les mondes académiques et professionnels sur la nature et les fonctions sociales de la géographie.<br />
Comment la géographie a-t-elle mis en ordre les formes de savoir qui la traversent ? Quelles ont été les cultures géographiques qui se sont croisées à cette époque et comment peut-on les caractériser ?<br />
L’originalité de cet ouvrage, qui traite d’une période encore mal connue de l’histoire de la géographie, est d’offrir une approche culturelle et sociale, voire politique de la géographie.<br />
L’ouvrage s’appuie sur une maîtrise approfondie de la bibliographie récente et internationale sur la question.
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<p>Dirigée par Yves-François Le Lay, Frédéric Le Marcis, Camille Martin et Igor Moullier</p> <p>« Sociétés, Espaces, Temps » publie depuis 1993 des ouvrages relevant principalement de l'histoire, de la géographie et de la sociologie sur des questions ou des thématiques qui rassemblent les trois disciplines. Elle accueille des travaux de recherche originaux et inédits, sur des thématiques ou des objets d'études transversaux, avec une réflexion épistémologique constamment présente. Elle est attentive à l'histoire des disciplines elles-mêmes, antérieure aux cloisonnements actuels. Fortement ancrée dans les mondes contemporains, elle demeure ouverte aux périodes historiques plus anciennes.<br /> La collection accueille de préférence des monographies, et entend associer au support papier des instruments de travail ou des corpus numériques et interactifs.</p>
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<p><em>Edited by Christine Détrez, Yves-François Le Lay and Igor Moullier</em></p> <p>The "Sociétés, Espaces, Temps" collection has, since 1993, been publishing works covering predominantly history, geography and sociology which address issues and themes which bring together the three disciplines. It includes original and unpublished research projects on cross-cutting themes or objects of study, along with plentiful epistemological reflection. It devotes attention to the history of the disciplines themselves, prior to the current divisions. Firmly fixed in the contemporary world, it remains open to older periods of history.<br /> The collection consists predominantly of monographs and is designed to incorporate both paper-based materials and digital and interactive resources and corpora.</p>
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CID - Fondation MSH Distribution
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+33(0)53482095
cid@msh-paris.fr
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www.cid-difusion.fr
http://www.cid-difusion.fr
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